En prélude du 3e congrès international de l'urologie qui va se tenir du 16 au 18 mai, l'Association Sénégalaise d'Urologie (ASU) en collaboration avec la Fédération des sociétés d'urologie de Langue Française a tenu une conférence de presse ce mardi 14 mai pour faire l’état des lieux mais également tabler sur les progrès de l’urologie au Sénégal.
Le thème choisi cette année est « la chirurgie mini-invasive, c’est-à-dire les nouvelles méthodes d’approche chirurgicale, sur la transplantation rénale et sur les problèmes d’infertilité et de sexualité ». Selon le Professeur Lamine Niang, président de ladite association mentionne que l’urologie sénégalaise a connu un développement important ces 20 dernières années. A cet effet, l’urologue laisse entendre qu'actuellement toute la chirurgie qu’on peut faire ailleurs peut se réaliser au Sénégal. Il cite : « Ce que nous ne faisons pas avant, c’est la transplantation rénale et heureusement nous avons commencé à le faire ».
Toutefois, le Professeur Niang, estime que cette année est particulière parce qu’elle est combinée au Congrès de toutes les fédérations et sociétés francophones d’urologie. « Ces deux jours qui précédent la conférence sont destinés aux ateliers où ils vont opérer une quarantaine de patients dans tous les grands hôpitaux de Dakar et de Mbour à savoir le Centre de Santé de Ouakam, l’Hôpital Dalal Jamm, l’Hôpital Idrissa Pouye de Grand Yoff. Les interventions sont la chirurgie mini invasive, des prothèses péniennes surtout chez les drépanocytaires », a-t-il déclaré.
Pour sa part, le vice-président de l'Association sénégalaise d’urologie, Ahmed Fall par ailleurs président de la Société africaine des chirurgiens urologues souligne qu'il y a de nouvelles techniques qui nous permettent d’opérer sans ouvrir. « Avec la chirurgie classique, on faisait la grande incision, mais avec les nouvelles techniques, on fait usage du laser et d’autres équipements qui peuvent nous permettre d'opérer la prostate, d'enlever les calculs dans le rein. On pourra opérer des patients qui resteront moins longtemps à l’hôpital et auront beaucoup moins de complications que si on faisait la chirurgie classique », a fait savoir Pr Fall.
Le thème choisi cette année est « la chirurgie mini-invasive, c’est-à-dire les nouvelles méthodes d’approche chirurgicale, sur la transplantation rénale et sur les problèmes d’infertilité et de sexualité ». Selon le Professeur Lamine Niang, président de ladite association mentionne que l’urologie sénégalaise a connu un développement important ces 20 dernières années. A cet effet, l’urologue laisse entendre qu'actuellement toute la chirurgie qu’on peut faire ailleurs peut se réaliser au Sénégal. Il cite : « Ce que nous ne faisons pas avant, c’est la transplantation rénale et heureusement nous avons commencé à le faire ».
Toutefois, le Professeur Niang, estime que cette année est particulière parce qu’elle est combinée au Congrès de toutes les fédérations et sociétés francophones d’urologie. « Ces deux jours qui précédent la conférence sont destinés aux ateliers où ils vont opérer une quarantaine de patients dans tous les grands hôpitaux de Dakar et de Mbour à savoir le Centre de Santé de Ouakam, l’Hôpital Dalal Jamm, l’Hôpital Idrissa Pouye de Grand Yoff. Les interventions sont la chirurgie mini invasive, des prothèses péniennes surtout chez les drépanocytaires », a-t-il déclaré.
Pour sa part, le vice-président de l'Association sénégalaise d’urologie, Ahmed Fall par ailleurs président de la Société africaine des chirurgiens urologues souligne qu'il y a de nouvelles techniques qui nous permettent d’opérer sans ouvrir. « Avec la chirurgie classique, on faisait la grande incision, mais avec les nouvelles techniques, on fait usage du laser et d’autres équipements qui peuvent nous permettre d'opérer la prostate, d'enlever les calculs dans le rein. On pourra opérer des patients qui resteront moins longtemps à l’hôpital et auront beaucoup moins de complications que si on faisait la chirurgie classique », a fait savoir Pr Fall.