« Nous voulons que l’agriculture biologique puisse devenir une alternative à une agriculture conventionnelle telle que pratiquée dans la vallée du fleuve Sénégal ». Cette déclaration a été faite par les membres de la Fédération Nationale pour l’Agriculture Biologique qui étaient en conclave à Ross Bethio dans le cadre de l’élaboration du plan national, Agriculture écologique biologique 2017/ 2025.
A en croire, son coordonnateur, l’utilisation abusive des pesticides et d’autres fertilisants chimiques dans les périmètres rizicoles du Delta et la vallée du fleuve Sénégal pour atteindre à tout prix l’autosuffisance en riz, peut causer beaucoup de dégâts aux consommateurs dans le domaine de la santé
Selon Ibrahima Seck et compagnie, dans la vallée du fleuve Sénégal, les producteurs de riz sont en train de doper les cultures sans se soucier de la production saine, durable par rapport à la santé humaine, animale et à la gestion des ressources naturelles.
De l’avis Abdoulaye Faye de la FENAP nord et Mme Maguette Diop de Thiès, cette agriculture conventionnelle a des impacts énormes sur le plan environnemental d’autant plus qu’elle participe de façon négative à la dégradation de la biodiversité animale et végétale.
Ces professionnels de la terre n’ont pas manqué de souligner que cette forme d’agriculture participe également au réchauffement climatique et contribue de 12 à 30 % des émissions de gaz à effets de serre, au moment où le monde bascule progressivement dans une transition écologique.
Autant de raisons qui obligent, ces défenseurs de l’agriculture biologique à attirer l’attention des pouvoirs publics et surtout des paysans qui pensent que sans engrais chimiques, ils sont dans l’impossibilité de produire en grande quantité, ce qui est loin d’être une réalité.
Cette visite dans la capitale rizicole du Sénégal était aussi une occasion pour les membres de la fédération de souligner que cette tyrannie appliquée sur le riz doit être révolue dans le delta et la vallée du fleuve Sénégal, car ce type de sol peut aussi devenir une zone fruitière.
Ibrahima Seck de conclure pour dire que le Sénégal dispose dans la zone sylvo-pastorale un cheptel qui peut en réalité produire suffisamment d’engrais organiques capable de restaurer l’ensemble des terres dégradées du pays.
A en croire, son coordonnateur, l’utilisation abusive des pesticides et d’autres fertilisants chimiques dans les périmètres rizicoles du Delta et la vallée du fleuve Sénégal pour atteindre à tout prix l’autosuffisance en riz, peut causer beaucoup de dégâts aux consommateurs dans le domaine de la santé
Selon Ibrahima Seck et compagnie, dans la vallée du fleuve Sénégal, les producteurs de riz sont en train de doper les cultures sans se soucier de la production saine, durable par rapport à la santé humaine, animale et à la gestion des ressources naturelles.
De l’avis Abdoulaye Faye de la FENAP nord et Mme Maguette Diop de Thiès, cette agriculture conventionnelle a des impacts énormes sur le plan environnemental d’autant plus qu’elle participe de façon négative à la dégradation de la biodiversité animale et végétale.
Ces professionnels de la terre n’ont pas manqué de souligner que cette forme d’agriculture participe également au réchauffement climatique et contribue de 12 à 30 % des émissions de gaz à effets de serre, au moment où le monde bascule progressivement dans une transition écologique.
Autant de raisons qui obligent, ces défenseurs de l’agriculture biologique à attirer l’attention des pouvoirs publics et surtout des paysans qui pensent que sans engrais chimiques, ils sont dans l’impossibilité de produire en grande quantité, ce qui est loin d’être une réalité.
Cette visite dans la capitale rizicole du Sénégal était aussi une occasion pour les membres de la fédération de souligner que cette tyrannie appliquée sur le riz doit être révolue dans le delta et la vallée du fleuve Sénégal, car ce type de sol peut aussi devenir une zone fruitière.
Ibrahima Seck de conclure pour dire que le Sénégal dispose dans la zone sylvo-pastorale un cheptel qui peut en réalité produire suffisamment d’engrais organiques capable de restaurer l’ensemble des terres dégradées du pays.
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