Le Président Abdou Diouf ne savait si bien faire en appelant son tombeur, Abdoulaye Wade, pour le féliciter de sa victoire éclatante au deuxième à la présidentielle de 2000. Ce coup de fil qui ne s’inscrit pas dans la logique anodine est d’une haute portée démocratique au Sénégal et partout ailleurs dans le monde.
C’est pourquoi, le rappeur Didier Awadi n’a pas hésité à qualifier ce coup de fil comme une démarche qui est désormais inscrite au panthéon de toutes les démocraties modernes et dignes de ce nom. « Le geste que vous avez fait avec Wade en 2000 est devenu un classique en démocratie », se félicite encore le rappeur qui était, pourtant un des plus farouches opposant d’Abdou Diouf à l’époque…
Toute chose qui fera dire à Awadi que le combat de 2000 n’était pas destiné intuitu personae à Abdou Diouf, mais qu’il s’agissait plutôt d’un combat de principe en ce sens que la démocratie a toujours besoin d’alternance pour respirer.
Ne cachant son «amour » pour l’ancien Chef de l’État, le leader du PBS se dit toujours impressionné par Abdou Diouf à qui la jeunesse doit cette phrase écrite sur tous les tableaux de l’école sénégalaise : «l’apartheid est un crime contre l’humanité ».
« Monsieur le Président, nous aimons votre grandeur d’homme d’État, courtois, humaniste, etc... mais nous avons plus besoin de vous. Nous avons besoin de votre expérience. La jeunesse a besoin de votre expérience. », conclura-t-il sous les applaudissements.
C’est pourquoi, le rappeur Didier Awadi n’a pas hésité à qualifier ce coup de fil comme une démarche qui est désormais inscrite au panthéon de toutes les démocraties modernes et dignes de ce nom. « Le geste que vous avez fait avec Wade en 2000 est devenu un classique en démocratie », se félicite encore le rappeur qui était, pourtant un des plus farouches opposant d’Abdou Diouf à l’époque…
Toute chose qui fera dire à Awadi que le combat de 2000 n’était pas destiné intuitu personae à Abdou Diouf, mais qu’il s’agissait plutôt d’un combat de principe en ce sens que la démocratie a toujours besoin d’alternance pour respirer.
Ne cachant son «amour » pour l’ancien Chef de l’État, le leader du PBS se dit toujours impressionné par Abdou Diouf à qui la jeunesse doit cette phrase écrite sur tous les tableaux de l’école sénégalaise : «l’apartheid est un crime contre l’humanité ».
« Monsieur le Président, nous aimons votre grandeur d’homme d’État, courtois, humaniste, etc... mais nous avons plus besoin de vous. Nous avons besoin de votre expérience. La jeunesse a besoin de votre expérience. », conclura-t-il sous les applaudissements.
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