De nombreux Sénégalais vont enfin pousser un ouf de soulagement en apprenant que la Direction des investigations criminelles a cueilli ce vendredi Assane Diouf, qui a failli passer l’arme à gauche hier, après que des talibés mourides ont voulu lui faire la fête.
Pour rappel, l’insulteur public numéro 1, qui a fait plusieurs émules à travers les réseaux sociaux, a récemment débité des insanités contre l’une des plus hautes autorités de Touba. L’homme avait le don de regarder par le trou de serrure pour se mêler de la vie privée d’honnêtes citoyens ; dont le seul tort est, pour l’essentiel, de s’être retrouvés, par hasard, sur le chemin des commanditaires de ses attaques incendiaires.
Finalement, aucune cible potentielle n’était plus en sécurité. Car, à défaut de preuves, Assane Diouf avait le don de monter des fictions que les moins avertis prenaient pour des révélations. Il était aidé dans sale besogne par les travers d’une société africaine orale, qui préfère les on-dit aux preuves formelles. Même ses rares fans, qui, à ses débuts, attendaient ses « chroniques » sur Youtube avec impatience, étaient, par la suite, sidérés de son insolence, qui frise le délire de persécution à brûler Rome.
Le fameux « Sutura », entre autres référentiels sociologiques de l’exception sénégalaise, s’écroulait sous la bave de sa gueulante de commère.
Hommes politiques, hommes d’affaires, artistes, marabouts, journalistes…Le « Khakharkat » aura mis le Sénégal sens dessus dessous (contre des-sous de table d’un célèbre milliardaire ?).
Cette fois-ci, il a ouvert une vraie boite de Pandore comme s’il ignorait que les confréries sont le socle de la société sénégalaise pour avoir contribué à l’islamisation de celle-ci.
Avec cette arrestation qui intervient avec quelque retard, on n’ose espérer que la machine judiciaire ne va pas s’arrêter. Puisque la mise à l’ombre de Assane Diouf était devenue une demande sociale.
C’est le lieu de traquer les insulteurs de tous les bords, notamment ceux qui poussent comme des champignons sur le champ politique. La stabilité de la société est à ce prix.
Pour rappel, l’insulteur public numéro 1, qui a fait plusieurs émules à travers les réseaux sociaux, a récemment débité des insanités contre l’une des plus hautes autorités de Touba. L’homme avait le don de regarder par le trou de serrure pour se mêler de la vie privée d’honnêtes citoyens ; dont le seul tort est, pour l’essentiel, de s’être retrouvés, par hasard, sur le chemin des commanditaires de ses attaques incendiaires.
Finalement, aucune cible potentielle n’était plus en sécurité. Car, à défaut de preuves, Assane Diouf avait le don de monter des fictions que les moins avertis prenaient pour des révélations. Il était aidé dans sale besogne par les travers d’une société africaine orale, qui préfère les on-dit aux preuves formelles. Même ses rares fans, qui, à ses débuts, attendaient ses « chroniques » sur Youtube avec impatience, étaient, par la suite, sidérés de son insolence, qui frise le délire de persécution à brûler Rome.
Le fameux « Sutura », entre autres référentiels sociologiques de l’exception sénégalaise, s’écroulait sous la bave de sa gueulante de commère.
Hommes politiques, hommes d’affaires, artistes, marabouts, journalistes…Le « Khakharkat » aura mis le Sénégal sens dessus dessous (contre des-sous de table d’un célèbre milliardaire ?).
Cette fois-ci, il a ouvert une vraie boite de Pandore comme s’il ignorait que les confréries sont le socle de la société sénégalaise pour avoir contribué à l’islamisation de celle-ci.
Avec cette arrestation qui intervient avec quelque retard, on n’ose espérer que la machine judiciaire ne va pas s’arrêter. Puisque la mise à l’ombre de Assane Diouf était devenue une demande sociale.
C’est le lieu de traquer les insulteurs de tous les bords, notamment ceux qui poussent comme des champignons sur le champ politique. La stabilité de la société est à ce prix.
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