Le Président Directeur général de l’Institut africain de management-IAM, lors de l’ouverture de la cérémonie de graduation des promotions 2015-2016 de l’institut, dans un discours très vivace et plein de spiritualité,est revenu sur les 20 ans de l’IAM. Vingt années dira t’il de « résultats, impacts d’abnégation, qui ont permis à l’IAM de rayonner et de donner pour beaucoup d’africains un sens à leur existence ».
Rappelant l’importance des souvenirs, il fera savoir que de la qualité du rappel, fait la grandeur de l’l’existence et de l’être humain.
« Le rappel pour la formation de leader est tout aussi important puisqu'il permet de forger trois consciences qui semblent être importantes dont la première est la conscience de soi »
Sur cet aspect il regrettera que la jeunesse africaine triche beaucoup « on a cessé d’être nous mêmes, de porter nous mêmes cette véritable mission qui devrait être la nôtre. Mais celui là qui sait exactement la passion de sa charge, il n'hésite pas à aimer et au bout il y a le succès. On n’aime pas on fait semblant d’aimer, celui qui sait sa véritable mission, il n’hésite pas à aimer les arbres (…), il faut identifier cette charge et l’aimer »
La deuxieme conscience est celle de l’autre, fera t’il savoir, avant d’inviter les étudiants à la solidarité. « Sans empathie pas de créativité, ni d’innovations » révélera t’il.
Pour finir avec un mot sur la marraine de cette promotion, Moustapha Guirassy dira que son choix est par rapport à « sa classe par rapport à un mode de pensée, à un impact sur la communauté et sur le continent. Un modèle parce que femme incarnant toutes les valeurs à transmettre aux étudiants »
Rappelant l’importance des souvenirs, il fera savoir que de la qualité du rappel, fait la grandeur de l’l’existence et de l’être humain.
« Le rappel pour la formation de leader est tout aussi important puisqu'il permet de forger trois consciences qui semblent être importantes dont la première est la conscience de soi »
Sur cet aspect il regrettera que la jeunesse africaine triche beaucoup « on a cessé d’être nous mêmes, de porter nous mêmes cette véritable mission qui devrait être la nôtre. Mais celui là qui sait exactement la passion de sa charge, il n'hésite pas à aimer et au bout il y a le succès. On n’aime pas on fait semblant d’aimer, celui qui sait sa véritable mission, il n’hésite pas à aimer les arbres (…), il faut identifier cette charge et l’aimer »
La deuxieme conscience est celle de l’autre, fera t’il savoir, avant d’inviter les étudiants à la solidarité. « Sans empathie pas de créativité, ni d’innovations » révélera t’il.
Pour finir avec un mot sur la marraine de cette promotion, Moustapha Guirassy dira que son choix est par rapport à « sa classe par rapport à un mode de pensée, à un impact sur la communauté et sur le continent. Un modèle parce que femme incarnant toutes les valeurs à transmettre aux étudiants »
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