Venu présider hier la cérémonie d’ouverture de la rencontre du conseil consultatif national des droits de l’homme (CCNDH), Andrea Ori, représentant du bureau régional pour l’Afrique de l’Ouest du haut-commissariat des Nations-Unies aux droits de l’homme a fait une révélation de taille. Selon lui, «il y a plus de 35 mille enfants qui se baladent dans la rue en quête de pitance ». aussi, demande-t-il au Sénégal de trouver une solution à la mendicité des enfants qui constitue un réel problème : « si les enfants ne sont pas bien gérés, ils ne seront pas de bons adultes ».
Poursuivant, il a relevé que même si le Sénégal est une référence dans le respect des droits de l’homme en Afrique de l’Ouest, il reste encore beaucoup à réaliser : « C’est vrai que le Sénégal est un peu la vedette dans la sous-région dans le respect des droits humains. On a l’impression qu’il n’y a pas beaucoup de problèmes au Sénégal. Mais je dois avouer qu’il y a beaucoup de défis à relever(…) nous voulons accompagner le Sénégal afin qu’il devienne un pays phare dans le respect des droits de l’homme en Afrique ».
Sur un autre volet, Andrea Ori a constaté que « l’Afrique de l’Ouest est un peu le champion des ratifications des traités. Mais, il ne s’agit pas de ratifier pour dire qu’on a respecté les droits de l’homme. Le défi, une fois que la ratification est faite, c’est la mise en œuvre ». Par ailleurs, nos confrères de « Libération » soulignent que le représentant des Nations Unies a indiqué que le Sénégal ne doit pas hésiter à ratifier la convention 189 qui porte sur le travail des techniciens de surface. De son avis, la bonne ne doit pas être exploitée mais avoir un salaire qui lui permettra de s’épanouir, de faire son business afin de participer au développement du pays : « exploiter une bonne est une approche égoïste qui va à l’encontre du respect des droits de l’homme ».
Poursuivant, il a relevé que même si le Sénégal est une référence dans le respect des droits de l’homme en Afrique de l’Ouest, il reste encore beaucoup à réaliser : « C’est vrai que le Sénégal est un peu la vedette dans la sous-région dans le respect des droits humains. On a l’impression qu’il n’y a pas beaucoup de problèmes au Sénégal. Mais je dois avouer qu’il y a beaucoup de défis à relever(…) nous voulons accompagner le Sénégal afin qu’il devienne un pays phare dans le respect des droits de l’homme en Afrique ».
Sur un autre volet, Andrea Ori a constaté que « l’Afrique de l’Ouest est un peu le champion des ratifications des traités. Mais, il ne s’agit pas de ratifier pour dire qu’on a respecté les droits de l’homme. Le défi, une fois que la ratification est faite, c’est la mise en œuvre ». Par ailleurs, nos confrères de « Libération » soulignent que le représentant des Nations Unies a indiqué que le Sénégal ne doit pas hésiter à ratifier la convention 189 qui porte sur le travail des techniciens de surface. De son avis, la bonne ne doit pas être exploitée mais avoir un salaire qui lui permettra de s’épanouir, de faire son business afin de participer au développement du pays : « exploiter une bonne est une approche égoïste qui va à l’encontre du respect des droits de l’homme ».
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