La Commission nationale de lutte contre le dopage est descendue dans l’arène ce dimanche en marge du gala de lutte avec frappe qu’organisait le promoteur Pape Abdou Fall. C’est à 20h12, après sa réaction sur le plateau de la SenTv que Sa Thiès (Double Less) a pris la direction d’une salle sise au stadium Marius Ndiaye. Ce, pour les besoins d’un contrôle par prélèvement d’urine. Devant la porte, la sécurité, qui veille au grain, exige qu’il entre avec un seul accompagnateur. Un quart d’heure plus tard, il ressort et s’engouffre dans son véhicule. Le fils de Double Less quitte le stade sans pour autant sacrifier complètement au premier rituel du genre.
Que s’est-il passé ?
Son accompagnateur explique que les membres de la Commission lui ont expliqué que la quantité d’urine était insuffisante. 90 centilitres normalement. «Il est difficile d’exiger une telle quantité à un sportif qui vient de terminer un combat», dit-il à Thiam, un superviseur du Cng, et à Thierno Kâ, le porte-parole de la même structure. Les deux personnalités de l’instance faîtière de la lutte acquiescent, mais invitent le concerné à trouver un rendez-vous avec la Commission de lutte contre le dopage afin de ne point s’exposer à des sanctions. En prélude à la 16e édition du Drapeau du Chef de l’Etat, à Fatick, Alioune Sarr, président du Cng, avait parlé d’une sanction d’au minimum trois ans si le lutteur ne joue pas le jeu.
La Commission va faire un rapport
«C’est ce que je leur ai expliqué, mais ils m’ont dit que cela n’est pas leur problème, qu’ils vont faire un rapport», poursuit le mentor de Sa Thiès.
Interpellé, Thierno Ka assure que Lac Rose est passé sans problème. «Toutes les disciplines y passent. Ce n’est pas le Cng de lutte qui décide. On a juste été informé qu’ils viendraient faire le contrôle aujourd’hui (dimanche). On en a parlé aux lutteurs au niveau du stade. C’est tout. Il se pourrait qu’il y ait encore d’autres contrôles au niveau du stade, des écuries ou du domicile des lutteurs. Cela dépend du calendrier de la Commission», retrace le porte parole du Cng dans les colonnes de Libération.
Le fait d’uriner ne devrait poser de problème en de telles circonstances. Seulement, des raisons d’ordre mystique ont été évoquées par notre interlocuteur. «Sa Thiès a pissé ici (il brandit le gobelet) mais ils ont dit que ce n'était pas suffisant. Il a fait de son mieux, mais il faut dire qu’il était gêné par ses gris-gris (enfouis dans le Nguimb). Il y a des choses que sa mère, seule, est autorisée à enlever», révèle son accompagnateur tout en ajoutant : «Le problème ne se poserait pas s’il était battu par Lac Rose. Lequel n’a pas eu de problèmes car la plupart de ses gris-gris ne serviront plus. On parle d’un investissement de millions de F Cfa qu’on ne peut gâcher.» «Il (Sa Thiès) a un préjugé favorable», plaide Thierno Kâ non sans suggérer au frère de Balla Gaye 2 à en parler aux membres de ce corps indépendant.
Que s’est-il passé ?
Son accompagnateur explique que les membres de la Commission lui ont expliqué que la quantité d’urine était insuffisante. 90 centilitres normalement. «Il est difficile d’exiger une telle quantité à un sportif qui vient de terminer un combat», dit-il à Thiam, un superviseur du Cng, et à Thierno Kâ, le porte-parole de la même structure. Les deux personnalités de l’instance faîtière de la lutte acquiescent, mais invitent le concerné à trouver un rendez-vous avec la Commission de lutte contre le dopage afin de ne point s’exposer à des sanctions. En prélude à la 16e édition du Drapeau du Chef de l’Etat, à Fatick, Alioune Sarr, président du Cng, avait parlé d’une sanction d’au minimum trois ans si le lutteur ne joue pas le jeu.
La Commission va faire un rapport
«C’est ce que je leur ai expliqué, mais ils m’ont dit que cela n’est pas leur problème, qu’ils vont faire un rapport», poursuit le mentor de Sa Thiès.
Interpellé, Thierno Ka assure que Lac Rose est passé sans problème. «Toutes les disciplines y passent. Ce n’est pas le Cng de lutte qui décide. On a juste été informé qu’ils viendraient faire le contrôle aujourd’hui (dimanche). On en a parlé aux lutteurs au niveau du stade. C’est tout. Il se pourrait qu’il y ait encore d’autres contrôles au niveau du stade, des écuries ou du domicile des lutteurs. Cela dépend du calendrier de la Commission», retrace le porte parole du Cng dans les colonnes de Libération.
Le fait d’uriner ne devrait poser de problème en de telles circonstances. Seulement, des raisons d’ordre mystique ont été évoquées par notre interlocuteur. «Sa Thiès a pissé ici (il brandit le gobelet) mais ils ont dit que ce n'était pas suffisant. Il a fait de son mieux, mais il faut dire qu’il était gêné par ses gris-gris (enfouis dans le Nguimb). Il y a des choses que sa mère, seule, est autorisée à enlever», révèle son accompagnateur tout en ajoutant : «Le problème ne se poserait pas s’il était battu par Lac Rose. Lequel n’a pas eu de problèmes car la plupart de ses gris-gris ne serviront plus. On parle d’un investissement de millions de F Cfa qu’on ne peut gâcher.» «Il (Sa Thiès) a un préjugé favorable», plaide Thierno Kâ non sans suggérer au frère de Balla Gaye 2 à en parler aux membres de ce corps indépendant.
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