L'histoire secrète de Farba N'gom


L'histoire secrète de Farba N'gom
DAKARACTU.COM Depuis quelques jours, le "riche griot" de Macky Sall est sous le feu des projecteurs depuis son dernier déménagement fort médiatisé. En effet, pour ceux qui n'ont pas suivi le train de l'actu, l'homme des rêves d'Adja M'baye -une des filles d'Haj Mansour M'baye- s'est payé une luxueuse résidence pour, tenez vous bien, la bagatelle de 700 millions cfa. C'est du moins ce qu'ont avancé nos confrères de la "Tribune" et qui n'ont jusqu'à présent pas été démenti par notre ami Farba.
Intrigué par la fortune supposée de Farba qui remonterait selon certains à longue date, Dakaractu a voulu en avoir le cœur net et a donc procédé à sa petite enquête, aux fins de "creuser" comme on dit dans le jargon journalistique, sur la saga de Farba N'gom.

Ainsi il nous est parvenu que ceux qui déclarent que Farba était riche bien avant l'avènement de son mentor à la magistrature suprême ont tout faux. En effet, le griot patenté de Macky Sall, originaire de Agnam, ne possédait strictement rien au moment où son mentor était porté à la tête du gouvernement en 2004. "Il était hébergé par son grand frère à DIEUPPEUL et mangeait chez un certain Seydou Kébé dont il était en quelque sorte le chambellan. C'est par la suite que Farba fera la connaissance de Macky Sall" nous souffle, sous le sceau de l'anonymat un de ses proches.

Depuis le début de son compagnonnage avec le chef de file de l'APR, il nous revient que Farba N'gom (réputé langue mielleuse, pour ne pas dire bon tchatcheur, comme disent nos cousins Ivoiriens), est préposé aux missions officieuses, notamment les opérations de recrutement et de débauchage (le cas Demba Dia est assez illustratif).

Et ce n'est pas tout, ce veinard griot, qui soit dit en passant vivotait avec sa femme Hal Poulaar à Agnam dans une sobre habitation en banco, serait l'une des rares éminences grises du "Boss". Et bénéficie à ce titre, de la confiance de Macky et celle de Madame la Première Dame. Il constituerait une véritable courroie de transmission, c'est à dire "le passage obligé pour entrer dans les bonnes grâces du "Boss", d'ailleurs ceux qui s'attachent ses services ne sourcillent pas à lui faire de substantielles largesses" nous apprennent nos sources...
Dimanche 15 Septembre 2013




1.Posté par DEUGGBOUBESS le 15/09/2013 13:11
QU'ATTENDS LA CREI POUR MENER DES ENQUÊTES SUR L'ORIGINE DE CETTE FORTUNE SUBITE?

2.Posté par Tah! le 15/09/2013 13:14
La Crei a l'obligation de nous dire où ce pauvre type a pu se payer une maison de 700 millions. S'il le justifie pas sous le régne de Macky Sall insha Allah il le justifiera avec son successeur...

3.Posté par Leukdaour le 15/09/2013 13:29
"le passage obligé pour entrer dans les bonnes grâces du "Boss", d'ailleurs ceux qui s'attachent ses services ne sourcillent pas à lui faire de substantielles largesses" il peut alors bien avoir une maison à 700 millions. Yalla rek a kham. Naniou maanou

Leuk Daour

4.Posté par Le dégoûté le 15/09/2013 13:39
Thalès-le-fou, roman sans relief.
Il paraît que M. Sémou Mama Diop est un écrivain. Il paraît qu’il incarne aujourd’hui, avec quelques autres, la nouvelle garde de la littérature sénégalaise. Il paraît même, affirment les plus hardis, que M. Sémou Mama Diop aurait du talent.
Je dois alors être tombé sur le mauvais livre : car si M. Diop a quelque talent, j’en ai en vain cherché une trace dans son roman Thalès-le-fou.
L’histoire, s’il y en a une, a pour cadre Wakogne, un quartier embourbé dans une profonde misère au sein d’un pays imaginaire, la République démocratique du Jolof. Le narrateur, Thalès, est un fou. Et à travers sa parole de fou, s’incarne toute une galerie de personnages : les jeunes désœuvrés de Wakogne amassés au banc « jaxlé » et rêvant d’Europe, les hommes politiques véreux et facilement identifiables, les habitants du quartier, du marabout charlatan au père de famille irresponsable, de la commère à la vieille veuve, du jeune intègre au vieux libidineux. Tous ces personnages sont supposés représenter des types de la misère sociale, et les interactions entre eux, tenir lieu de scènes de la vie quotidienne. Quant au sujet propre du livre, il est difficile à saisir : « l’émigration ou l’immigration clandestine » nous dit la quatrième de couverture. L’éditeur eût tout aussi bien pu écrire : le mensonge politique, l’injustice sociale, ou encore, la fameuse hypocrisie nationale.
C’est dire que Thalès le fou est un roman touffu, qui brasse beaucoup de thèmes. En soi, cela n’est pas grave. Mais que cette profusion de sujets obstrue le propos l’est. Un roman avec cette ambition eût nécessité du souffle : non seulement littéraire, mais encore, physique. Il semblerait que M. Diop n’ait eu ni l’un ni l’autre : 155 pages, c’est maigre. A vouloir parler de tout, il n’a réellement parlé de rien ; à vouloir tout peindre, il n’a fait qu’esquisser. Aucun thème, aucun personnage n’est développé avec la profondeur qu’il eût fallu ; tous, enfin, sont sans épaisseur.
La dispersion du discours, sa fragmentation, pouvaient dans un sens être justifiés par le fait qu’il était pris en charge par un fou, c’est-à-dire par la figure par excellence de l’errance, du discours déconstruit, a-topique. La quatrième de couverture, encore elle, nous apprend d’ailleurs que le récit suit cette « démarche en diagonale propre au fou de l’échiquier qui côtoie en un simple déplacement les rois et les manants. » Thalès, le narrateur, bouge certes beaucoup, mais la fréquence de ses déplacements n’a d’égale que la légèreté de son discours social. La figure du morosophe, du fou détenteur de sagesse sinon de vérité, pour être saisissante, doit pouvoir imprimer à son propos, aussi décousu soit-il, une certaine puissance. On le sait depuis Erasme et Foucault. Mais nulle trace de cette puissance ici : le discours du narrateur est superficiel, trop rapide.
En vérité, le discours de Thalès sombre très vite dans la répétition, et le roman est infesté de références culturelles potaches, mises en italiques, comme pour dire : « attention, étalage de culture ici, référence en cours. » Une si longue lettre est mêlée à La Grande vadrouille, qui est mêlée à La Comédie humaine, qui est mêlée à Starsky et Hutch, qui est mêlé à La Fontaine, qui est mêlé à Senghor, qui est mêlé au Prince de Machiavel, qui est mêlé au Tartuffe de Molière, etc. L’on finit par croire qu’en écrivant, M. Diop a cherché à prouver que son fou était savant, cultivé. Etonnant, sous ce rapport, qu’il ne se soit pas souvenu de ce mot de Sagan –le connaissait-il ?- : « la culture c’est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale. »
Je ne m’attarderai pas sur le style de ce roman, il est l’un des plus laborieux que j’aie jamais rencontré. Oyez plutôt : « Maintenant que j’ai mis les points sur les i et l’accent grave sur les e pour que vous sachiez que mon ton est grave et que je n’aime pas les familiarités entre lecteur et auteur, je vais vous exposer les raisons qui m’ont poussé à m’étaler et étaler la misère de mon pays et de Wakogne sur ces papiers de fortune. » Ou encore : « Rambo tâta sa braguette et fit glisser le zip. Il nous sortit son instrument, son homo-erectus, un bazooka aussi gros que celui de Sylvester Stallone dans Rambo II la Mission, et je n’ai pas pu m’empêcher de l’imaginer dans la position du missionnaire surarmé cherchant dans la forêt vietnamienne de Grosses Fesses des JA portés disparus… » Je m’en arrête là.
En vérité, ce qui est le plus étrange quant au style de M. Diop, c’est qu’il est souvent qualifié de « trash », de subversif, comme s’il suffisait de mettre bite, cul, couille dans une même phrase pour être trash, comme si la subversion d’un langage se mesurait à sa vulgarité, comme s’il suffisait de mettre des points de suspension, des injures, et un simulacre de gouaille populaire partout pour être estampillé sous-héritier de Céline. Il n’en faut décidément pas beaucoup pour effaroucher les vierges de la critique littéraire sénégalaise qui, comme M. Diop semble-t-il, n’ont pas compris cette chose fondamentale en littérature : que le langage est en lui-même une subversion, et une subversion d’autant plus efficace qu’on ne la surcharge pas d’effets. Qu’on se le dise, M. Diop n’est ni trash ni vulgaire. Il manque de naturel. Il se regarde écrire et rit à ses propres blagues. On le voit arriver à des lieues avec ses gros sabots. C’est un magicien dont les trucs sont connus à l’avance. En somme, c’est un romancier médiocre.
En fin de compte, la seule chose qui m’aura fait marrer dans ce bouquin est la réception qu’il a eue. Il a été interdit au Sénégal, censuré par le président Wade. Et sur ce point, je suis d’accord avec M. Diop : il n’y avait pas de quoi. Vraiment pas.
Tout au long de l’ouvrage, Thalès ne cesse de répéter qu’il veut écrire cette œuvre en six jours comme le Bon Dieu fit la Terre, et se reposer le septième. Dieu au moins a réussi son oeuvre, Lui.
Et aux sept péchés capitaux qui servent d’ossature aux sept chapitres du roman, l’on devrait rajouter un huitième : l’absence de talent littéraire.
Mais qui sait, peut-être M. Diop progressera-t-il. Il faut croire aux miracles. Que je sois allé au bout de ce roman en est bien un, après tout.
Thalès-le-fou, par M. Sémou Mama Diop, 155 pages, éd. L’Harmattan.

5.Posté par Moi le 15/09/2013 14:05
Je vous livre ici une information pas moins importante. Mr Ngom est le prête nom de Macky Sall. La majorité des bien immobiliers de Macky porte bien le nom de Farba Ngom. Je rappelle que Macky Sall et sa femme Mareme détenait une agence immobilière avant l'accession au pour du mari de cette dernière.
De toute façon ça va se savoir un jour. DOKHOTOU GUÉLEM KAW LA DIEUME

6.Posté par Man le 15/09/2013 14:33
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7.Posté par Mamadou le 15/09/2013 15:08
Je m'adresse à la Crei si vous ne donne pas une mise en demeure à ce type,mieux vaut que l’État vide les prisons et aussi d'enterrer cette loi.on commence à avoir une grande honte à notre justice,vous les magistrats valoriser notre justice.Osez de demandez la levé de son immunité parlementaire,et et de lui demandez l'origine de sa forum,

8.Posté par kane cheikh le 15/09/2013 15:21
je pourrai vous en dire tant sur ceux je confirme qu'il mangeait belle et bien chez mon oncle seydou kébé qui habite dérklé juste dériere le clinique rabi

9.Posté par ZAMIO le 15/09/2013 17:44
C'EST LUI L'ADMINISTRATEUR D'UNE PARTIE DES MILLIARDS QUE MACKY GROSSES FESSES A VOLE AU PEUPLE.SENEGALAIS.

10.Posté par diop le 15/09/2013 17:47
Mes excuses pour le HS. Mais j'ai besoin d'infos complémentaires sur le contrat CCBM/SAMSUMG

En consultant le site d'un transporteur maritime, j'ai lu une précision concernant l'importation par les particuliers de TV SAMSUMG. Cette dernière ferait l'objet d'une taxation particulière. Intervenant en droit de la concurrence, cela m'intrigue.

Sur le site de la douane, je ne trouve pas de texte qui réglemente l'importation de la marque SAMSUMG.J'ai creusé sur Google et j'ai des articles où Monsieur MBOUP se prévaut d'un contrat de représentation exclusif de la marque SAMSUMG. Cela ressemble fort à un contrat de franchise.

Par rapport à mes modestes connaissances, je ne trouve pas de justifications du monopole ainsi octroyé Mr MBOUP.
Il s'git bien d'une restriction à travers une taxation dissuasive.

SI SAMSUMG n'est pas une marque sénégalaise, la propriété intellectuelle et industrielle n'est pas également sénégalaise, le contrat de représentation lie deux professionnels, QUEL EST L'INTERET DE L'ETAT POUR EN FAIRE UN MONOPOLE ET PROTEGER AINSI Mr MBOUP DE LA CONCURRENCE?

Je trouve que cela constitue une entorse aux règles de la concurrence. Pire, on impose aux consommateurs d'aller chez CCBM s'ils veulent une SAMSUMG. Or, il est possible d'acheter ces produits à moindre coûts (frais de port vers le Sénégal inclus).

Au nom de quoi, l'Etat chercherait à concéder à cet homme d'affaires un monopole sur un marché donné tout en sachant que le consommateur paie le prix de ce monopole.

Je suis larguée, avez vous d'autres explications?

11.Posté par Xeme le 15/09/2013 17:54
A ces informations, il faut ajouter que Farba Ngom était connu des soirées Poulars dites "Pekaan" (soirée de chants acapera des pêcheurs poulars, subalbe). Il y jouait le rôle de haut parleur pour gagner quelques billets. N'importe quel poular de la banlieue vous le confirmera.

12.Posté par tapha le 15/09/2013 18:03
Dakar actu il faut vérifier vos sources avant de publier ce que vous dites c faux .farba a eu de l argent avant que macky ne vienne au pouvoir la preuve j habite a cote de l une de ses villas qui une R+4 a l intérieur de la foire prés de chez fada qui date de plus de 4ans. moi je ne le connais pas mais il faut arrêter de dire du mal des autres c pas bien ça ne vous avance a rien.

13.Posté par GOOGALAVERITE le 15/09/2013 20:34
Mais Tapha, tu ne fais que confirmer les écrits de DAKARACTU en disant que FARBA DIOUNGUEL KOFIGUEL a construit une villa R+4 dans les terrains de la foire, il y a quatre ans dont en 2010! c'est exactemement pour dire que sa fortune date de 2004 année de nomination de Macky comme PM et qui a fait nommer SADA NDIAYE DG de la SICAP en 2005!
NOUS SAVONS PERTINEMMENT QUE LA FORTUNE SUBITE DE FARBA PROVIENT EXCLUSIVEMENT DE LA VENTE ILLICITE DES TERRAINS DE L'ETAT: LA SICAP AVEC SADA NDIAYE et PAR LA SUITE LES DOMAINES AVEC AMADOU BA ET TAIBOU A QUI JULES NDENE PM IMPOSAIT DES QUOTAS QUE FARBA ETAIT CHARGE DE REVENDRE. BIE SUR FARBA INGRAT FOKHALE FORNIQUAIT SES MENTORS SADA ET JULES EN DÉCLARANT LA MOITIE DU PRIX ET RECEVANT ENCORE 25% DE COMMISSIONS.
DANS UN PAYS DE JUSTICE INDÉPENDANTE LE PROCUREUR DEVAIT S'AUTO SAISIR DU DOSSIER FARBA POUR RÉPERTORIER TOUS SES BIENS COMME IL L'A FAIT POUR TAIBOU ET JE VOUS ASSURE QU'APRES KARIM ET TAIBOU CEST FARBA ET JULES QUI PASSERAIT A LA TRAPPE!
JE SOUHAITE VIVEMENT QUE LE PRESIDENT MACKY SALL QUI EST UN HOMME PONDÉRÉ SE RAVIVE POUR SAVOIR QUE FARBA LUI EST TRES NUISIBLE DANS TOUS LES PLANS ET MEME POLITIQUE CAR IL EST ENTRAIN DE SAPER SA NOTORIETE AU FOUTA SA BASE AFFECTIVE.

14.Posté par lilanenewyork le 15/09/2013 20:48
Eh tapha
on ne parle pas de la richesse de Farba à partir de 2012 mais à partir des années ou Macky diaye fondé était ministre donc à partir du moment ou ce gros porc lui même a commencé à piller les 8 milliards

15.Posté par lilanenewyork le 15/09/2013 20:48
Eh tapha
on ne parle pas de la richesse de Farba à partir de 2012 mais à partir des années ou Macky diaye fondé était ministre donc à partir du moment ou ce gros porc lui même a commencé à piller les 8 milliards

16.Posté par dioga le 16/09/2013 00:36
Ce griot doit de l'argent à deux commerçants de Agnam qui lui avaient fourni des matériaux de construction. Ces deux commerçants sont aujourd'hui dans des difficultés financières parce u'il n'a toujours rien payé. L'un d'eux d'ailleurs a porté plainte contre lui en citation directe! C'est vraiment pas serieux. Il a rasé un terrain sur la nationale à Agnam qu'il s'aprête à construire.

17.Posté par Indien le 16/09/2013 01:57
Tapa, tu prétends défendre Farba mais finalement, tu publies nses secrets. En fait, Farba n'a pas de quoi construire cet immeuble, tout le monde sait qui est derrière lui. Le vrai propriétaire de cet immeuble, Taybou Ndiaye le sait c'est pourquoi on a vite fait de le lâcher. Le scandal par rapport à cet immeuble de 4 étages avec une vingtaine d'appartements c'est qu'il serait loué sous forme de maison conventionnée par l'Etat du Senegal. Seulement, aucun fonctionnaire de l'Etat n'y habite, l'immeuble est occupé par des jeunes de l'APR qui font du bruit et dérangent les voisins dans leur sommeil.



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