DAKARACTU.COM Depuis quelques jours, le "riche griot" de Macky Sall est sous le feu des projecteurs depuis son dernier déménagement fort médiatisé. En effet, pour ceux qui n'ont pas suivi le train de l'actu, l'homme des rêves d'Adja M'baye -une des filles d'Haj Mansour M'baye- s'est payé une luxueuse résidence pour, tenez vous bien, la bagatelle de 700 millions cfa. C'est du moins ce qu'ont avancé nos confrères de la "Tribune" et qui n'ont jusqu'à présent pas été démenti par notre ami Farba.
Intrigué par la fortune supposée de Farba qui remonterait selon certains à longue date, Dakaractu a voulu en avoir le cœur net et a donc procédé à sa petite enquête, aux fins de "creuser" comme on dit dans le jargon journalistique, sur la saga de Farba N'gom.
Ainsi il nous est parvenu que ceux qui déclarent que Farba était riche bien avant l'avènement de son mentor à la magistrature suprême ont tout faux. En effet, le griot patenté de Macky Sall, originaire de Agnam, ne possédait strictement rien au moment où son mentor était porté à la tête du gouvernement en 2004. "Il était hébergé par son grand frère à DIEUPPEUL et mangeait chez un certain Seydou Kébé dont il était en quelque sorte le chambellan. C'est par la suite que Farba fera la connaissance de Macky Sall" nous souffle, sous le sceau de l'anonymat un de ses proches.
Depuis le début de son compagnonnage avec le chef de file de l'APR, il nous revient que Farba N'gom (réputé langue mielleuse, pour ne pas dire bon tchatcheur, comme disent nos cousins Ivoiriens), est préposé aux missions officieuses, notamment les opérations de recrutement et de débauchage (le cas Demba Dia est assez illustratif).
Et ce n'est pas tout, ce veinard griot, qui soit dit en passant vivotait avec sa femme Hal Poulaar à Agnam dans une sobre habitation en banco, serait l'une des rares éminences grises du "Boss". Et bénéficie à ce titre, de la confiance de Macky et celle de Madame la Première Dame. Il constituerait une véritable courroie de transmission, c'est à dire "le passage obligé pour entrer dans les bonnes grâces du "Boss", d'ailleurs ceux qui s'attachent ses services ne sourcillent pas à lui faire de substantielles largesses" nous apprennent nos sources...
Intrigué par la fortune supposée de Farba qui remonterait selon certains à longue date, Dakaractu a voulu en avoir le cœur net et a donc procédé à sa petite enquête, aux fins de "creuser" comme on dit dans le jargon journalistique, sur la saga de Farba N'gom.
Ainsi il nous est parvenu que ceux qui déclarent que Farba était riche bien avant l'avènement de son mentor à la magistrature suprême ont tout faux. En effet, le griot patenté de Macky Sall, originaire de Agnam, ne possédait strictement rien au moment où son mentor était porté à la tête du gouvernement en 2004. "Il était hébergé par son grand frère à DIEUPPEUL et mangeait chez un certain Seydou Kébé dont il était en quelque sorte le chambellan. C'est par la suite que Farba fera la connaissance de Macky Sall" nous souffle, sous le sceau de l'anonymat un de ses proches.
Depuis le début de son compagnonnage avec le chef de file de l'APR, il nous revient que Farba N'gom (réputé langue mielleuse, pour ne pas dire bon tchatcheur, comme disent nos cousins Ivoiriens), est préposé aux missions officieuses, notamment les opérations de recrutement et de débauchage (le cas Demba Dia est assez illustratif).
Et ce n'est pas tout, ce veinard griot, qui soit dit en passant vivotait avec sa femme Hal Poulaar à Agnam dans une sobre habitation en banco, serait l'une des rares éminences grises du "Boss". Et bénéficie à ce titre, de la confiance de Macky et celle de Madame la Première Dame. Il constituerait une véritable courroie de transmission, c'est à dire "le passage obligé pour entrer dans les bonnes grâces du "Boss", d'ailleurs ceux qui s'attachent ses services ne sourcillent pas à lui faire de substantielles largesses" nous apprennent nos sources...
Autres articles
-
Opération de Sécurisation / Amendes forfaitaires : La police met un coup de balai et verse 4,4 millions au Trésor public
-
Medina Wandifa(Sedhiou) : Le collectif pour la défense des intérêts de la commune en colère interpelle l’Etat sur la spoliation foncière…
-
Finale de la 1ère édition de GOV’ATHON : « 480 participants, 120 projets proposés, 12 sélectionnés et 3 primés »
-
Meurtre à Joal : Un coup de bâton mortel pour une dispute de poisson mal grillé
-
Trafic de drogue ou simple commerce ? Une commerçante face à 10 ans de réclusion