Le 22 Janvier, les forces de défense et de sécurité de l'aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar ont procédé avec brio à l'interpellation de deux (2) trafiquants internationaux d’oiseaux. De nationalité espagnole, ils s'acheminaient vers Madrid en possession illégale de 500 oiseaux vivants de 14 espèces différentes. Les oiseaux étaient dissimulés très professionnellement dans 4 valises de soute pour une valeur internationale estimée à 14 millions de CFA.
Ces oiseaux de contrebandes, partiellement protégés, bénéficient d'une pleine protection au Sénégal. Les deux Espagnols voyageaient vers l’Espagne sans aucune autorisation d’exportation normalement délivrée par la Direction des Eaux et Forêts, sans aucun documents sanitaires vétérinaires et sans s’acquitter des franchises douanières pour être ensuite commercialisés en Europe et enrichir illicitement tout un réseau de trafiquants d’oiseaux Internationaux bien connus. Les pauvres malheureux oiseaux, entassés comme des sardines dans 4 valises de soutes ont presque tous péri d’asphyxie dans leurs boites. Les 200 survivants ont été immédiatement relâchés avec succès dans la nature par les agents de la Direction des Eaux et Forêts.
De nombreuses infractions au Code de la chasse et de la protection de la faune du Sénégal ont été constatées par la Direction des Eaux et Forêts appuyée par leurs partenaires du projet SALF (Sénégal Application de la Loi Faunique). On peut ainsi citer la capture illégale, la circulation, l’absence de permis d’exportation, la détention d’oiseaux partiellement protégés, les mauvais traitements infligés aux animaux sauves etc…
Les 2 trafiquants espagnols ont été déférés ce mercredi 25 janvier 2017 au parquet pour être présentés au Procureur du Tribunal de Dakar. Souhaitons maintenant que cette affaire n’en restera pas là et que les 2 trafiquants espagnols bénéficieront de toute l’application de la loi faunique sénégalaise pour passer un message fort à tous les trafiquants internationaux qui continuent de croire qu’au Sénégal on peut prélever, circuler, commercialiser, transiter des ressources naturelles fauniques en toute tranquillité et retourner dans son pays d’origine pour s’enrichir avec.
Pour rappel, le commerce illégal des espèces sauvages est un crime organisé transnational qui occupe le 4ème rang des commerces illicites dans le monde après la drogue, les armes, le blanchiment et le trafic d’être humain. L’objectif de ces arrestations, encore une fois, est de donner un signal fort aux trafiquants quant à la volonté de l’Etat Sénégalais de mettre fin au trafic pour assurer la survie des espèces et combattre le crime organisé.
Ces oiseaux de contrebandes, partiellement protégés, bénéficient d'une pleine protection au Sénégal. Les deux Espagnols voyageaient vers l’Espagne sans aucune autorisation d’exportation normalement délivrée par la Direction des Eaux et Forêts, sans aucun documents sanitaires vétérinaires et sans s’acquitter des franchises douanières pour être ensuite commercialisés en Europe et enrichir illicitement tout un réseau de trafiquants d’oiseaux Internationaux bien connus. Les pauvres malheureux oiseaux, entassés comme des sardines dans 4 valises de soutes ont presque tous péri d’asphyxie dans leurs boites. Les 200 survivants ont été immédiatement relâchés avec succès dans la nature par les agents de la Direction des Eaux et Forêts.
De nombreuses infractions au Code de la chasse et de la protection de la faune du Sénégal ont été constatées par la Direction des Eaux et Forêts appuyée par leurs partenaires du projet SALF (Sénégal Application de la Loi Faunique). On peut ainsi citer la capture illégale, la circulation, l’absence de permis d’exportation, la détention d’oiseaux partiellement protégés, les mauvais traitements infligés aux animaux sauves etc…
Les 2 trafiquants espagnols ont été déférés ce mercredi 25 janvier 2017 au parquet pour être présentés au Procureur du Tribunal de Dakar. Souhaitons maintenant que cette affaire n’en restera pas là et que les 2 trafiquants espagnols bénéficieront de toute l’application de la loi faunique sénégalaise pour passer un message fort à tous les trafiquants internationaux qui continuent de croire qu’au Sénégal on peut prélever, circuler, commercialiser, transiter des ressources naturelles fauniques en toute tranquillité et retourner dans son pays d’origine pour s’enrichir avec.
Pour rappel, le commerce illégal des espèces sauvages est un crime organisé transnational qui occupe le 4ème rang des commerces illicites dans le monde après la drogue, les armes, le blanchiment et le trafic d’être humain. L’objectif de ces arrestations, encore une fois, est de donner un signal fort aux trafiquants quant à la volonté de l’Etat Sénégalais de mettre fin au trafic pour assurer la survie des espèces et combattre le crime organisé.
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