A l'Attention de Monsieur Macky Sall Président de la République du Senegal
Par fibre patriotique, nous Portons à votre connaissance le traitement princier de Monsieur EDGARDO BADIALI DIRECTEUR GÉNÉRAL DE SENEGAL AIRLINES, dans un pays aussi sous développé que le Senegal où vous prônez la Gouvernance sobre et vertueuse des affaires publiques (État détenteur de 51% des actions de la compagnie).
Retenez votre souffle, et ceci n'a rien d'une stigmatisation (par amour pour notre pavillon national) au moment ou son personnel trinque, Monsieur se permet:
- De se taper un salaire mensuel net de 12 152€ soit 7 971 189 francs CFA
- Une villa sur la corniche au 56 Corniche Fann résidence paye à 3 004 340 francs CFA par mois
- Frais d'entretien trimestriel de sa piscine à 250 000 francs CFA
- Frais d'approvisionnement en gasoil trimestriel de son groupe électrogène à 50 000 francs CFA
- Un véhicule de type 4*4 en location simple immatricule DK- 6138 - AP pour un montant de 2 000 000 francs CFA par mois
- Un Chauffeur à 235 000 francs CFA par mois
A cela, il faut ajouter le traitement de faveur de ses fournisseurs particulier dont il est le seul négociateur et signataire des contrat dont les clauses nous font perdre énormément d'argent.
Dont un affrètement en ACMI pour les dessertes intérieures à 300 000 dollars le mois pour un avion qui est souvent en panne entraînant ainsi la locations d'autres avions sur la plate forme (Transair) au frais de Senegal Airlines compte non tenu des coûts annexes lies à ces irrégularités (hôtel, restauration, perte de clientèle ...)
A titre d'exemple, au moment où le personnel réclamait son salaire de novembre non encore payé à cette date du 20 décembre 2013, Monsieur préfère payer 1 200 000 dollars à trois fournisseurs dans le but de récupérer des rétro commissions.
A ce gâchis, il faut ajouter le scandale du MD80 de Global Aviation une compagnie Sud Africaine à qui un montant de 200 000 000 francs CFA a été payé sans pour autant que la compagnie puisse utiliser les service dudit avion ( L'ANACIM ayant refuser d'autoriser l'affrètement de cette avion vieux de 30 ans).
Par fibre patriotique, nous Portons à votre connaissance le traitement princier de Monsieur EDGARDO BADIALI DIRECTEUR GÉNÉRAL DE SENEGAL AIRLINES, dans un pays aussi sous développé que le Senegal où vous prônez la Gouvernance sobre et vertueuse des affaires publiques (État détenteur de 51% des actions de la compagnie).
Retenez votre souffle, et ceci n'a rien d'une stigmatisation (par amour pour notre pavillon national) au moment ou son personnel trinque, Monsieur se permet:
- De se taper un salaire mensuel net de 12 152€ soit 7 971 189 francs CFA
- Une villa sur la corniche au 56 Corniche Fann résidence paye à 3 004 340 francs CFA par mois
- Frais d'entretien trimestriel de sa piscine à 250 000 francs CFA
- Frais d'approvisionnement en gasoil trimestriel de son groupe électrogène à 50 000 francs CFA
- Un véhicule de type 4*4 en location simple immatricule DK- 6138 - AP pour un montant de 2 000 000 francs CFA par mois
- Un Chauffeur à 235 000 francs CFA par mois
A cela, il faut ajouter le traitement de faveur de ses fournisseurs particulier dont il est le seul négociateur et signataire des contrat dont les clauses nous font perdre énormément d'argent.
Dont un affrètement en ACMI pour les dessertes intérieures à 300 000 dollars le mois pour un avion qui est souvent en panne entraînant ainsi la locations d'autres avions sur la plate forme (Transair) au frais de Senegal Airlines compte non tenu des coûts annexes lies à ces irrégularités (hôtel, restauration, perte de clientèle ...)
A titre d'exemple, au moment où le personnel réclamait son salaire de novembre non encore payé à cette date du 20 décembre 2013, Monsieur préfère payer 1 200 000 dollars à trois fournisseurs dans le but de récupérer des rétro commissions.
A ce gâchis, il faut ajouter le scandale du MD80 de Global Aviation une compagnie Sud Africaine à qui un montant de 200 000 000 francs CFA a été payé sans pour autant que la compagnie puisse utiliser les service dudit avion ( L'ANACIM ayant refuser d'autoriser l'affrètement de cette avion vieux de 30 ans).
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