Parlant de ce qui a été qualifié par le journaliste de dévolution monarchique de la part de Lamine Diack en prenant son fils comme consultant en Marketing de l'IAAF, Papa Massata Diack se veut clair en revenant sur son entrée dans la structure de l'athlétisme international.
Pour Diack-fils : " Je travaillais dans une entreprise avant d'aller dans l'IAAF. C'est à un moment donné que Lamine Diack m'a trouvé pour me dire que Massata, tu as de l'expérience dans le marketing, j'ai besoin de tes services pour trouver des contrats pour l'IAAF en Chine, au Japon, aux USA et dans le monde arabe. Après réflexion, je suis parti rejoindre son équipe avec un contrat de consultant marketing pour lequel j'étais payé que par le fruit de mon travail. Le président Diack, m’a appelé pour venir l’aider et je suis obligé d’aller trouver le financement, car sans cela, je ne serais pas payé. En tant que consultant, il fallait exploiter les contacts à ma disposition. Peut-être que c'est mon père, mais c'était mon patron et j'étais obligé de remplir mon contrat. J'ai été lié avec Lamine Diack et l'IAAF par un contrat professionnel. Je suis un professionnel du marketing, métier dans lequel j'ai fait 26 ans. Alors je vous le dis et vous le répète, je n'ai jamais pris de l'argent de russes, je n'ai jamais rencontré d'athlètes russes. "
Pour Diack-fils : " Je travaillais dans une entreprise avant d'aller dans l'IAAF. C'est à un moment donné que Lamine Diack m'a trouvé pour me dire que Massata, tu as de l'expérience dans le marketing, j'ai besoin de tes services pour trouver des contrats pour l'IAAF en Chine, au Japon, aux USA et dans le monde arabe. Après réflexion, je suis parti rejoindre son équipe avec un contrat de consultant marketing pour lequel j'étais payé que par le fruit de mon travail. Le président Diack, m’a appelé pour venir l’aider et je suis obligé d’aller trouver le financement, car sans cela, je ne serais pas payé. En tant que consultant, il fallait exploiter les contacts à ma disposition. Peut-être que c'est mon père, mais c'était mon patron et j'étais obligé de remplir mon contrat. J'ai été lié avec Lamine Diack et l'IAAF par un contrat professionnel. Je suis un professionnel du marketing, métier dans lequel j'ai fait 26 ans. Alors je vous le dis et vous le répète, je n'ai jamais pris de l'argent de russes, je n'ai jamais rencontré d'athlètes russes. "
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