Cheikh Seydi Aboubeker Mbengue ! Ton nom me reste collé aux lèvres, depuis le fameux samedi 15 Juillet 2017, date à laquelle, Dieu a décidé de te faire quitter ce bas monde. Ton nom reste gravé à ma mémoire, tellement tu étais d’une dimension exceptionnelle. «Cheikh», tu es parti, suite à une courte maladie, qui t’a cloué au lit, des jours durant. Tu avais fini par accepter de déserter ton bureau, pour aller te soigner, après plusieurs «injonctions» de tes collaborateurs que nous étions. «DG, il faut aller te soigner et te reposer», te disait-on, à la suite de plusieurs réunions au détour desquelles, on a senti ton état déliquescent.
Cheikh Seydi Aboubeker Mbengue ! Je ne peux m’empêcher de te citer, car je ne te voyais pas partir de sitôt. A 54 ans seulement ? Non. Ce n’est pas juste. Tu nous laisse un vide, que nul ne pourra sans doute jamais combler. Depuis deux ans, que j’ai commencé à travailler avec toi à l’Agence de la Couverture Maladie Universelle, j’ai rarement vu un homme d’une compétence aussi avisée et avérée. Qui se battait corps et âme, pour la réussite de sa mission et de son programme. Celui-là, qui consiste à aider 75% des Sénégalais à avoir une couverture maladie, jusque–là garantie aux seuls agents de l’Etat et travailleurs du secteur privé.
«Khalifa», «Cheikh», «Big», c’est selon, tu alliais à la fois, rigueur et sympathie, droiture et générosité, piété et humilité. Pour dire vrai, je n’ai que très peu vu des gens comme toi, au Sénégal. Surtout en ce moment où tout le monde court pour le bien matériel, ce qui réduit certains à devenir des adeptes du mal, dans toutes ses dimensions.
«DG», tu étais un homme bien !
«DG», certainement que des millions de Sénégalais auraient pu en dire autant sur toi. Dans les premières heures, qui ont suivi ton décès, beaucoup de confrères, d’hommes politiques, de mutualistes m’ont joint par téléphone, pour partager la douleur et glisser des témoignages, qui n’ont rien de surprenants. Un moment, je l’avoue, j’étais fier, parce que convaincu que FIRDAWS, sera ta demeure éternelle. Tout ce monde présent à la levée du corps à l’hôpital de Fann et qui t’a accompagné à Tivaouane, témoigne s’il en était encore besoin, de l’homme bien et de bien que tu étais.
«Cheikh», tu es parti sur la pointe des pieds, mais tu peux être content de toi, pour plusieurs raisons. Tu as répondu à l’appel de la Nation, pour venir apporter ta pierre à la construction d’un Sénégal émergent et prospère. Tu as tout laissé aux Etats-Unis (où tu visais bien), pour venir soutenir le programme social du président Macky Sall. Tu as fait de l’Agence de la Couverture Maladie Universelle (LaCMU), un organe moderne et très performant, avec des agents travailleurs et très compétents (les résultats obtenus en si peu de temps le confirment). Tu as permis à beaucoup de jeunes Sénégalais, d’avoir eu un emploi à plein temps et un salaire décent. L’un d’eux confiait souvent à ses parents, ceci : «Cheikh Mbengue peut s’abstenir de prier, car il ira tout droit au Paradis.» Naturellement, ça amusait certains, mais on sentait la profondeur des propos de l’agent en question qui, en guise de remerciement, a donné ton nom à son fils, né il y a quatre mois.
«DG, nous sommes inconsolables»
Certains confrères raillaient très amicalement mon attachement à ta personne. Des remarques qui me faisaient sourire parfois. En réalité, je n’ai jamais caché l’admiration que j’avais à ton endroit, le respect et toute la considération, qu’il fallait. Parce que non seulement, c’était réciproque, mais parce qu’aussi, tu aimais ce pays. «DG», tu aimais le Sénégal ! Ce pays a perdu un Grand patriote ! Tu étais convaincu que le Sénégal peut devenir un ilot de paix et de prospérité où tous, autant que nous sommes, seront égaux et auront accès à tous les services de base et de façon équitable.
Tu as fait le tour du pays, pour faire de la Couverture Maladie Universelle, une réalité au Sénégal. J’ai eu la chance de t’accompagner dans ces voyages, souvent très longs et périlleux, mais j’ai pu constater, l’étendue de la considération que tu avais pour ta mission. Ce programme, tu le prenais très au sérieux, parce que tu voulais faire honneur au président de la République, qui t’a choisi en janvier 2015, parmi des millions d’autres Sénégalais.
Tu t’en es allé certes, avec sans doute le goût d’inachevé, mais les 75% de taux de couverture fixés par le Chef de l’Etat et que tu voulais coûte que coûte atteindre seront au rendez-vous (INCHALLAH). Les agents que tu as laissés derrière toi sont inconsolables, mais tellement soudés et déterminés, que tu peux te reposer en paix à Tivaouane, auprès de ton marabout et homonyme Cheikh Seydi Ababacar Sy.
Cheikh Seydi Aboubeker Mbengue ! J’aimais répéter ton nom aux confrères, qui se perdaient souvent entre «Cheikh Mbengue» et «Khalifa Mbengue», mais pour moi, tu restes un «Big man» dans le vrai sens du terme !
Repose en Paix.
Aly Fall
Journaliste
Chef de la Division Communication
Agence de la Couverture Maladie Universelle (LaCMU)
Adjoint au Secrétaire Général National du SYNPICS et porte-parole
Cheikh Seydi Aboubeker Mbengue ! Je ne peux m’empêcher de te citer, car je ne te voyais pas partir de sitôt. A 54 ans seulement ? Non. Ce n’est pas juste. Tu nous laisse un vide, que nul ne pourra sans doute jamais combler. Depuis deux ans, que j’ai commencé à travailler avec toi à l’Agence de la Couverture Maladie Universelle, j’ai rarement vu un homme d’une compétence aussi avisée et avérée. Qui se battait corps et âme, pour la réussite de sa mission et de son programme. Celui-là, qui consiste à aider 75% des Sénégalais à avoir une couverture maladie, jusque–là garantie aux seuls agents de l’Etat et travailleurs du secteur privé.
«Khalifa», «Cheikh», «Big», c’est selon, tu alliais à la fois, rigueur et sympathie, droiture et générosité, piété et humilité. Pour dire vrai, je n’ai que très peu vu des gens comme toi, au Sénégal. Surtout en ce moment où tout le monde court pour le bien matériel, ce qui réduit certains à devenir des adeptes du mal, dans toutes ses dimensions.
«DG», tu étais un homme bien !
«DG», certainement que des millions de Sénégalais auraient pu en dire autant sur toi. Dans les premières heures, qui ont suivi ton décès, beaucoup de confrères, d’hommes politiques, de mutualistes m’ont joint par téléphone, pour partager la douleur et glisser des témoignages, qui n’ont rien de surprenants. Un moment, je l’avoue, j’étais fier, parce que convaincu que FIRDAWS, sera ta demeure éternelle. Tout ce monde présent à la levée du corps à l’hôpital de Fann et qui t’a accompagné à Tivaouane, témoigne s’il en était encore besoin, de l’homme bien et de bien que tu étais.
«Cheikh», tu es parti sur la pointe des pieds, mais tu peux être content de toi, pour plusieurs raisons. Tu as répondu à l’appel de la Nation, pour venir apporter ta pierre à la construction d’un Sénégal émergent et prospère. Tu as tout laissé aux Etats-Unis (où tu visais bien), pour venir soutenir le programme social du président Macky Sall. Tu as fait de l’Agence de la Couverture Maladie Universelle (LaCMU), un organe moderne et très performant, avec des agents travailleurs et très compétents (les résultats obtenus en si peu de temps le confirment). Tu as permis à beaucoup de jeunes Sénégalais, d’avoir eu un emploi à plein temps et un salaire décent. L’un d’eux confiait souvent à ses parents, ceci : «Cheikh Mbengue peut s’abstenir de prier, car il ira tout droit au Paradis.» Naturellement, ça amusait certains, mais on sentait la profondeur des propos de l’agent en question qui, en guise de remerciement, a donné ton nom à son fils, né il y a quatre mois.
«DG, nous sommes inconsolables»
Certains confrères raillaient très amicalement mon attachement à ta personne. Des remarques qui me faisaient sourire parfois. En réalité, je n’ai jamais caché l’admiration que j’avais à ton endroit, le respect et toute la considération, qu’il fallait. Parce que non seulement, c’était réciproque, mais parce qu’aussi, tu aimais ce pays. «DG», tu aimais le Sénégal ! Ce pays a perdu un Grand patriote ! Tu étais convaincu que le Sénégal peut devenir un ilot de paix et de prospérité où tous, autant que nous sommes, seront égaux et auront accès à tous les services de base et de façon équitable.
Tu as fait le tour du pays, pour faire de la Couverture Maladie Universelle, une réalité au Sénégal. J’ai eu la chance de t’accompagner dans ces voyages, souvent très longs et périlleux, mais j’ai pu constater, l’étendue de la considération que tu avais pour ta mission. Ce programme, tu le prenais très au sérieux, parce que tu voulais faire honneur au président de la République, qui t’a choisi en janvier 2015, parmi des millions d’autres Sénégalais.
Tu t’en es allé certes, avec sans doute le goût d’inachevé, mais les 75% de taux de couverture fixés par le Chef de l’Etat et que tu voulais coûte que coûte atteindre seront au rendez-vous (INCHALLAH). Les agents que tu as laissés derrière toi sont inconsolables, mais tellement soudés et déterminés, que tu peux te reposer en paix à Tivaouane, auprès de ton marabout et homonyme Cheikh Seydi Ababacar Sy.
Cheikh Seydi Aboubeker Mbengue ! J’aimais répéter ton nom aux confrères, qui se perdaient souvent entre «Cheikh Mbengue» et «Khalifa Mbengue», mais pour moi, tu restes un «Big man» dans le vrai sens du terme !
Repose en Paix.
Aly Fall
Journaliste
Chef de la Division Communication
Agence de la Couverture Maladie Universelle (LaCMU)
Adjoint au Secrétaire Général National du SYNPICS et porte-parole
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