« Excellence Maitre Aissata TALL Sall, Députée Maire du Podor,
Madame la députée Maire du Podor, je saisis cette belle occasion de votre passage à Lyon pour attirer votre attention sur les prises d’otages illégales, les arrestations arbitraires, séquestrations sans aucun motif suivi de tortures physiques par châtiments corporels et morales de nos camarades militants abolitionnistes et militants des droits humains par le régime Mauritanien. Tout cela se passe à vol d’oiseau de la république sénégalaise, depuis l’indépendance à nos jours au vu et su de tous les pays voisins : Sénégal, Mali, Maroc et Algérie ; l’esclavage se pratique encore à une très grande échelle sans que cela ne soulève le tollé des pays africains en général.
L’unique crime de nos camarades est d’avoir osé dénoncer publiquement les pratiques de l’esclavage antique, le racisme, la féodalité, les expropriations de terres des paysans pauvres noirs sur le long de la vallée du fleuve Sénégal dans le sud Mauritanien en faveur de l’agrobusiness arabe saoudien venant des pays du Golf.
Depuis le 11 novembre 2014, M. Biram Dah Ould Abeid qui a été distingué prix des droits de l’homme des nations unies en 2013, président de l’ONG IRA-Mauritanie, Brahim Rhamdane Ould Bilal, son vice-président sont séquestrés, privés même des soins dans un bagne à Nouakchott capitale Mauritanienne pour 2 ans de prison ferme lors d’un simulacre faux procès théâtral inventé de toute pièce sur la base du faux et usage de faux.
Les autorités Mauritaniennes les reprochent d’avoir mené une caravane dénonçant l’esclavage foncier, agricole dans le sud de la Mauritanie, contre les expropriations des terres de pauvres paysans locaux en faveur des pays arabes du Golf, des chefs de tribus maures et la féodalité noire mauritanienne pour affamer ces populations noires qui n’ont que la terre comme ressources pour survivre; cela ne devrait laisser nos voisins immédiats comme le Sénégal indifférents. Mme la députée, l’incendie qui ravage la case du voisin ne devrait guère nous faire rire, la moindre des choses est de l’aider à éteindre le feu.
Nous vous chargeons cette noble mission Mme la députée maire du Podor d’interpeller le président Macky Sall et ces collègues Africains, de lancer l’alerte envers les institutions africaines au sujet de l’esclavage, le racisme d’état et la féodalité qui perdurent en Mauritanie, le harcèlement constant suivi par des arrestations arbitraires de personnes qui osent mettre le doigt sur ces faits graves d’atteinte à la dignité humaine. L’Afrique est redevable avant la communauté internationale sur ce qui se passe en Mauritanie actuellement. Si les chefs d’états africains ne mettent pas la pression sur leur homologue Mauritanien pour mettre fin à la souffrance des Mauritaniens, ce qu’ils acceptent, autorisent l’ingérence occidentale dans les affaires africaines.
Les autorités Mauritaniennes ont envoyé le prix des droits de l’homme 2013 des nations unies en prison sans aménagement avec un dossier faux sur usage de faux, tout un symbole n’est ce pas montrant leur mépris total sans crainte des lois, traités et conventions internationaux ?
En vous remerciant d’avance Mme la députée Maire du Podor Aissata TALL Sall, nous comptons sur vous pour revigorer l’espoir des Mauritaniens en faisant le nécessaire à votre niveau.
Diko Hanoune
Secrétaire général de l’association des haratine de Mauritanie en Europe (A.H.M.E)
Madame la députée Maire du Podor, je saisis cette belle occasion de votre passage à Lyon pour attirer votre attention sur les prises d’otages illégales, les arrestations arbitraires, séquestrations sans aucun motif suivi de tortures physiques par châtiments corporels et morales de nos camarades militants abolitionnistes et militants des droits humains par le régime Mauritanien. Tout cela se passe à vol d’oiseau de la république sénégalaise, depuis l’indépendance à nos jours au vu et su de tous les pays voisins : Sénégal, Mali, Maroc et Algérie ; l’esclavage se pratique encore à une très grande échelle sans que cela ne soulève le tollé des pays africains en général.
L’unique crime de nos camarades est d’avoir osé dénoncer publiquement les pratiques de l’esclavage antique, le racisme, la féodalité, les expropriations de terres des paysans pauvres noirs sur le long de la vallée du fleuve Sénégal dans le sud Mauritanien en faveur de l’agrobusiness arabe saoudien venant des pays du Golf.
Depuis le 11 novembre 2014, M. Biram Dah Ould Abeid qui a été distingué prix des droits de l’homme des nations unies en 2013, président de l’ONG IRA-Mauritanie, Brahim Rhamdane Ould Bilal, son vice-président sont séquestrés, privés même des soins dans un bagne à Nouakchott capitale Mauritanienne pour 2 ans de prison ferme lors d’un simulacre faux procès théâtral inventé de toute pièce sur la base du faux et usage de faux.
Les autorités Mauritaniennes les reprochent d’avoir mené une caravane dénonçant l’esclavage foncier, agricole dans le sud de la Mauritanie, contre les expropriations des terres de pauvres paysans locaux en faveur des pays arabes du Golf, des chefs de tribus maures et la féodalité noire mauritanienne pour affamer ces populations noires qui n’ont que la terre comme ressources pour survivre; cela ne devrait laisser nos voisins immédiats comme le Sénégal indifférents. Mme la députée, l’incendie qui ravage la case du voisin ne devrait guère nous faire rire, la moindre des choses est de l’aider à éteindre le feu.
Nous vous chargeons cette noble mission Mme la députée maire du Podor d’interpeller le président Macky Sall et ces collègues Africains, de lancer l’alerte envers les institutions africaines au sujet de l’esclavage, le racisme d’état et la féodalité qui perdurent en Mauritanie, le harcèlement constant suivi par des arrestations arbitraires de personnes qui osent mettre le doigt sur ces faits graves d’atteinte à la dignité humaine. L’Afrique est redevable avant la communauté internationale sur ce qui se passe en Mauritanie actuellement. Si les chefs d’états africains ne mettent pas la pression sur leur homologue Mauritanien pour mettre fin à la souffrance des Mauritaniens, ce qu’ils acceptent, autorisent l’ingérence occidentale dans les affaires africaines.
Les autorités Mauritaniennes ont envoyé le prix des droits de l’homme 2013 des nations unies en prison sans aménagement avec un dossier faux sur usage de faux, tout un symbole n’est ce pas montrant leur mépris total sans crainte des lois, traités et conventions internationaux ?
En vous remerciant d’avance Mme la députée Maire du Podor Aissata TALL Sall, nous comptons sur vous pour revigorer l’espoir des Mauritaniens en faisant le nécessaire à votre niveau.
Diko Hanoune
Secrétaire général de l’association des haratine de Mauritanie en Europe (A.H.M.E)
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