
Ancien journaliste sportif devenu consultant en communication, établi au Maroc depuis une dizaine d’années, Cheikh Mbacké Sène souffle à la fédération sénégalaise de football la possibilité de jouer la rencontre Sénégal-Angola du 23 mars prochain au Maroc. Le Royaume chérifien garantit, selon lui, des conditions infrastructurelles et d’encadrement meilleures que celles qu’aurait même pu offrir Dakar.
Loin du pays, mais les yeux toujours rivés sur le football national, l’ancien confrère ayant servi à Info7 et à l'APS, invite les autorités nationales en charge du football, qui sont présentement en mal de stade, de regarder du côté du Maroc.
« Le Maroc a la solution. Il est aujourd’hui de tous les pays qui disposent de bonnes infrastructures, celui est le plus proche du Sénégal », souligne-t-il.
Cheikh Mbacké Sène développe expliquant que « le Sénégal sait bien à l’avance que même s’il parvenait à trouver un stade alternatif en Gambie, en Mauritanie ou en République de Guinée, il y aurait peu de chance que toutes les conditions soient réunies ».
Donc, «au lieu de perdre du temps à multiplier les démarches, autant se rabattre sur le Maroc situé à 3 heures et demi à vol d‘oiseau de Dakar », avertit-il.
Pour lui, les arguments sont de taille : « le Royaume chérifien réunit toutes les conditions d’accueil pour une rencontre réussie à tous les niveaux. Le Maroc dispose au moins de 4 stades fonctionnels. Le Sénégal aura le choix de jouer au Stade Mohamed V de Casablanca (67 000 places, pelouse naturelle), au Grand Stade de Marrakech (45 200 places, pelouse naturelle), au Grand stade de Tanger (45 000 places, pelouse grasse) ou encore au stade Moulay Abdallah de Rabat (pelouse naturelle) - que le nouveau sélectionneur Alain Giresse connait par cœur pour y avoir dirigé le Club des FAR et remporté le championnat national Marocain ».
« Etant également l’une des premières destinations touristiques du continent, le Maroc dispose d’infrastructures hôtelières de capacité et de qualité pouvant rivaliser avec n’importe quel autre palace de la planète », souligne Cheikh Mbacké Sène.
«Les atouts dont bénéficiera le Sénégal pour une rencontre tenue au Maroc sont nombreux. L’excellence des relations bilatérales entre les deux pays favorise une mise à disposition totale de toute la logistique utile à un encadrement sécuritaire. Un des autres atouts reste la forte communauté sénégalaise vivant dans le Royaume chérifien, cette communauté supportrice dans l’âme avait - rappelle-t-on - poussé les Lions du Beach Soccer à remporter le trophée continental. Si le Sénégal joue à Casablanca, Marrakech ou Rabat, il peut être sûr de retrouver son public », conclut-il.
Loin du pays, mais les yeux toujours rivés sur le football national, l’ancien confrère ayant servi à Info7 et à l'APS, invite les autorités nationales en charge du football, qui sont présentement en mal de stade, de regarder du côté du Maroc.
« Le Maroc a la solution. Il est aujourd’hui de tous les pays qui disposent de bonnes infrastructures, celui est le plus proche du Sénégal », souligne-t-il.
Cheikh Mbacké Sène développe expliquant que « le Sénégal sait bien à l’avance que même s’il parvenait à trouver un stade alternatif en Gambie, en Mauritanie ou en République de Guinée, il y aurait peu de chance que toutes les conditions soient réunies ».
Donc, «au lieu de perdre du temps à multiplier les démarches, autant se rabattre sur le Maroc situé à 3 heures et demi à vol d‘oiseau de Dakar », avertit-il.
Pour lui, les arguments sont de taille : « le Royaume chérifien réunit toutes les conditions d’accueil pour une rencontre réussie à tous les niveaux. Le Maroc dispose au moins de 4 stades fonctionnels. Le Sénégal aura le choix de jouer au Stade Mohamed V de Casablanca (67 000 places, pelouse naturelle), au Grand Stade de Marrakech (45 200 places, pelouse naturelle), au Grand stade de Tanger (45 000 places, pelouse grasse) ou encore au stade Moulay Abdallah de Rabat (pelouse naturelle) - que le nouveau sélectionneur Alain Giresse connait par cœur pour y avoir dirigé le Club des FAR et remporté le championnat national Marocain ».
« Etant également l’une des premières destinations touristiques du continent, le Maroc dispose d’infrastructures hôtelières de capacité et de qualité pouvant rivaliser avec n’importe quel autre palace de la planète », souligne Cheikh Mbacké Sène.
«Les atouts dont bénéficiera le Sénégal pour une rencontre tenue au Maroc sont nombreux. L’excellence des relations bilatérales entre les deux pays favorise une mise à disposition totale de toute la logistique utile à un encadrement sécuritaire. Un des autres atouts reste la forte communauté sénégalaise vivant dans le Royaume chérifien, cette communauté supportrice dans l’âme avait - rappelle-t-on - poussé les Lions du Beach Soccer à remporter le trophée continental. Si le Sénégal joue à Casablanca, Marrakech ou Rabat, il peut être sûr de retrouver son public », conclut-il.
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